Nous avons été heureux de vous recevoir à Sedan pour la seconde édition des Rencontres de l’Ardenne. Le succès fut au rendez-vous et ceci grâce à vous et votre implication pour ce territoire qui, décidément, étonne et enchante tout le monde.
En quelques chiffres, cette édition a rassemblé près de 150 élus et institutions ardennaises, 150 prestataires touristiques, le véritable terreau ardennais. Mais aussi près de 20 ateliers numériques, 300 photos en mode « Woinic » et, pour finir, (quelques) litres d’Ardwen et d’Oubliette !
Retrouvez dans ici les différents documents issus de cette édition, les retombées dans la presse, un accès vers les photos et bien plus encore…
L’équipe de la Marque Ardenne
Découvrez le programme de ces nouvelles Rencontres de l'Ardenne :
Une matinée dédiée aux élus et partenaires institutionnels, un après-midi dédié aux prestataires touristiques et partenaires de l'Ardenne.
Armel Job
«Rencontrer l’Ardenne, c’est parcourir des vallées et des plateaux, des chemins et des sentiers, des villes et des villages.
Rencontrer l’Ardenne, c’est découvrir les gens de ce pays, à la réserve attachante, à la fiabilité sans faille, à la force opiniâtre.
Rencontrer l’Ardenne, c’est passer les frontières des États, des mentalités, des langues.
Rencontrer l’Ardenne, c’est partager des expériences, des projets, des espoirs.
Rencontrer l’Ardenne, c’est rencontrer le monde pour construire un avenir partagé…»
Michel FRANCARD
«L’Ardenne est ma terre d’origine et j’y reste très attaché. Au fil des années, et ma réflexion s’appuie sur des certitudes chaque fois que j’y reviens, j’ai l’impression que les habitants ont enfin pris conscience de la richesse de leur patrimoine, de la beauté de leur région. Il y a 20 ans, à peine, l’Ardenne, belge en tout cas, celle que je connais le mieux, avait encore la réputation d’une ruralité d’un autre âge, comme si on vivait là dans un autre siècle. Voire dans la précarité. Ce que pensaient sans doute les citadins, mal informés.
Il est vrai aussi que l’Ardennais n’aime pas trop qu’on piétine son pré carré. A raison, c’est tellement beau ! Mais depuis que les gens ont compris la richesse de leur patrimoine, depuis que les outils de communication pour en faire la publicité ont explosé, l’Ardenne a pris une réelle valeur ajoutée, en termes de tourisme, de qualité du logement, de l’accueil, des infrastructures tout en respectant la nature. Avant, quand je me promenais, je voyais uniquement des plaques d’immatriculation néerlandaises, je croisais des Flamands. Aujourd’hui, Français, Allemands, Scandinaves, Britanniques connaissent l’Ardenne.
Certes, le climat y est austère mais cette situation naturelle est indispensable à la qualité des sources d’eau, à la végétation tellement riche et diversifiée. Je suis amoureux de la nature, chasseur à mes heures, et en dépit de mes nombreux voyages, je ne connais pas d’autres endroits où les décors changent sur quelques kilomètres. On peut descendre au bord de la Semois et, au prix d’un dénivelé bien marqué, se retrouver sur des hauteurs vingt minutes plus tard avec une vue à couper le souffle. Pour rien au monde, je ne pourrais me passer de l’Ardenne et des Ardennais ! Dans ce contexte, je suis évidemment favorable au projet de développer l’attractivité de de l’Ardenne transfrontalière pour toutes les raisons que je viens d’évoquer.»
Philippe GILBERT
Avec le soutien du fonds européen de développement régional • Met steun van het Europees Fonds voor Regionale Ontwikkeling